Quintessence (682)

Cette peinture représente comme une aurore cosmique, éclatant de toutes parts en jaillissements de bleu, de jaune, d’orange et de violet. On y perçoit l’énergie brute d’un soleil qui s’ouvre, libérant des vagues de lumière dans toutes les directions. Les bleus profonds se transforment en rivières d’océan, les ors flamboyants en flammes célestes, tandis que les violets s’épanouissent comme des galaxies en expansion. Chaque coulée semble vibrer d’un rythme intérieur, comme si le tableau battait au tempo du cosmos. C’est une danse, une effusion, une naissance : celle d’un monde qui s’invente dans la fulgurance des couleurs. Tout circule, se transforme, se propage dans un mouvement irrésistible. L’œil s’y perd comme on se laisse happer par une explosion stellaire.