In Corde Coeli (51)

Dans cette peinture, la lumière s’ouvre en un vaste jaune éclatant, presque solaire, qui inonde toute la scène. Au premier plan, des verts vifs se déploient comme des prairies traversées de souffle, tandis que des touches de rose et de violet apparaissent en arrière-plan, semblables à des fleurs ou des éclats de vie. La composition respire la fluidité, comme un paysage en train de se former sous nos yeux, entre réel et imaginaire. Et si ce tableau était le souvenir d’un printemps originel, celui d’une nature encore neuve qui s’éveille dans la lumière ?